Catégorie : Collaboration

Réseaux sociaux d’entreprise ou solution d’Intelligence Collaborative ?

A l’instar des progrès techniques du 18ème siècle qui sont à l’origine de la révolution industrielle en Europe, le numérique (et notamment les RSE) porte aujourd’hui en lui les germes d’un nouvel ordre économique et social. Olivier Bourrouilh, CEO de ROK Solution: « L’enjeu est, cette fois, mondial et le processus d’une rapidité extrême. En outre, cette révolution impacte aussi bien l’ordre sociétal (ex : les « Printemps arabes ») qu’économique (ex : les circuits économiques courts du e-commerce). Le phénomène RSE (Réseaux Sociaux d’Entreprise) s’impose aux entreprises comme une évidence, un must, mais aussi une contrainte voir une menace. Si personne ne conteste son importance ou son omnipotence, en particulier dans les usages des jeunes générations, il est légitime de se questionner sur  la plus-value qu’il est susceptible d’apporter à l’entreprise et l’on peut légitimement être effrayé par son caractère sauvage, définitif et instantané. » « Les solutions proposées aujourd’hui sont davantage portées par la technologie que structurées autour de la finalité, et si 70% des entreprises du CAC40 ont désormais un Réseau Social d’Entreprise, on peut se poser la question de savoir la valeur qu’il leur apporte … et le(s) risque(s) généré(s). Les RSE, c’est avant tout un changement de paradigme. » Lire la suite sur: [tg_teaser bgcolor= »#ffffff » padding= »20″ image= »http://www.rok-solution.fr/wp-content/uploads/2016/01/lecercle-les-echos.png » columns= »one_third » align= »center »]Voir l’article [/tg_teaser][tg_teaser bgcolor= »#ffffff » padding= »20″ image= » » columns= »one_third » align= »center »] [/tg_teaser][tg_teaser bgcolor= »#ffffff » padding= »20″ image= » » title= » » columns= »one_third last » align= »center »] [/tg_teaser]

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Les réseaux sociaux d’entreprise: arrêtons de prendre le sujet à l’envers !

Grande tendance du moment, les RSE sont devenus la nouvelle innovation a avoir dans son entreprise pour améliorer sa compétitivité. Mais il est parfois difficile de s’y retrouver dans la jungle des solutions proposées. Interrogé sur la question, Olivier Bourrouilh, pdg de ROK Solution, revient sur les bases d’un bon RSE et remet en perspective son utilisation au quotidien. Réseaux Sociaux d’entreprise: arrêtons de prendre le sujet à l’envers ! Moi: Olivier Bourrouilh, bonjour, merci de prendre le temps de répondre à nos questions. Vous êtes PDG de ROK Solution, la plateforme d’Intelligence Collaborative à destination des entreprises. Nous allons aborder aujourd’hui les RSE (Réseaux Sociaux d’Entreprise), puisqu’au-delà de l’aspect processus métiers de ROK, une fonctionnalité essentielle de la plateforme est de proposer un large éventail d’outils de communication. Reprenons donc les bases ,qu’est-ce que les RSE et à quoi servent-ils ? Olivier Bourrouilh: Le RSE (Réseau Social d’Entreprise) est un concept assez large qui englobe tous les outils de communication et de collaboration d’entreprise que vont être les outils de chat, de wiki, d’internet, de vidéoconf, de VOIP… c’est un concept relativement large, poussé par la jeune génération qui est né avec des Facebook sous la main avec la capacité de communiquer en permanence à travers le web. Et quand on se pose la question : A quoi sert le RSE ? On confond souvent l’outil (le RSE c’est souvent mettre en place des outils de communication) avec la finalité (pourquoi je veux que les personnes dans l’entreprise communiquent entre elles ? quelle est la finalité ? quel est le but de cette communication. Est-ce que je veux qu’ils communiquent comme ils communiquent autour d’une machine à café ? est-ce que je veux qu’ils communiquent comme ils le feraient dans une salle de conférence pour partager autour d’un sujet, en mode projet ou autre ?) Bref, c’est quelque chose d’essentiel et un prérequis à la mise en place d’un RSE. Quels sont, selon vous, les prérequis pour un bon RSE ? Olivier Bourrouilh: Si on prend le sujet à l’endroit, c’est-à-dire, si on dit que les outils modernes, les outils actuels, sont des moyens et non une finalité, le RSE va avoir pour objectif de créer une collaboration et de créer de la valeur entre les différents collaborateurs et éventellement les partenaires de l’entreprise. Certes on va utiliser des outils de communication mais on va essayer de structurer cette organisation. J’ai en mémoire l’exemple d’une intervention que j’avais faite à l’époque chez Canal + autour du 2e monde qu’on connait plus aux Etats-Unis sous le nom de « second world » ou en fait on se promenait sur le web au travers d’un interface qui était exprimée au travers des rues de Paris. On arrivait auprès d’un certain nombre de personnes et on pouvait chatter avec eux, discuter, échanger etc. et j’étais arrivé un vendredi, il y avait une effervescence dans l’équipe des geek de canal car le sujet était de créer une sorte de constitution pour définir les règles de communications des uns et des autres. Dans un réseau social, si on le prend comme un simple wiki ou comme un simple chat ou un lieu de vidéoconférence, on créé une anarchie. Donc il faut modéliser cette organisation. Il faut créer la constitution qui va permettre aux gens de discuter entre eux avec une finalité. Ça veut dire qu’il faut la dessiner. Donc le prérequis à la mise en place d’un RSE, c’est d’avoir un outil de modélisation de la collaboration. Et ça, ça passe par du workflow donc c’est un outil très complexe. C’est un workflow qui va permettre de modéliser qui fait quoi ? avec qui ? et avec quels outils est ce qu’il faut que je travaille ? (content management, photos, fichiers etc…). Un bon réseau social a comme noyau un workflow qui permet de donner accès à des outils de communication de voIP, de wiki, de chat en fonction de ce qu’on a dessiné, qui puisse amener avec lui également du content management et qui a un minimum d’outils de contrôle. En gros, comment j’organise une démocratie collaborative avec des règles que je suis capable de fixer. Aujourd’hui on s’aperçoit finalement que beaucoup des approches de RSE sont faites à l’envers. On a des outils de communication, on dit qu’on a un RSE. Non. Les RSE, les outils de communication viennent pour renforcer la puissance d’un réseau social d’entreprise. « L’entreprise doit simplement mettre en place les outils de RSE, la collaboration viendra intuitivement », Etes-vous d’accord avec cette vision ?  Olivier Bourrouilh: Pas vraiment et je pense que la vision qu’a cette entreprise du réseau social est une vision qui est assez partagée par d’autres et qui aboutit à des échecs. Le manager veut mettre du réseau social dans son entreprise parce qu’il sent qu’il ne pourra pas faire sans. Mais il va mettre en place des outils de communication et ne va pas mettre en place les règles qui les régissent. Le RSE est extrêment complexe et doit être poussé au collaborateur de façon excessivement « userfriendly ». C’est du workflow avec tous les outils de communication qu’on met derrière. C’est un investissement car les outils de ce type sont complexes. C’est une gestion du changement qui doit se faire très simplement et le réseau doit amener ou prendre par la main l’ensemble de ses collaborateurs pour qu’ils puissent aller vers la création de valeur. Merci Olivier de nous avoir éclairé sur ce sujet. Merci à tous et à très bientôt sur www.rok-solution.com ! 

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L’entreprise sans mail

Face à la menace grandissante de l’email pour nos entreprises, ROK Solution, outil de diagnostic puissant, est parti en campagne pour sensibiliser nos dirigeants sur l’entreprise sans mail. S’il y a peu de temps le mail était encore perçu comme une preuve d’implication au travail, notamment lors d’envoi tardif, il n’en reste pas moins que son traitement est gourmand en temps et en concentration. La gestion des mails est un facteur de stress indéniable pour tous salariés. L’ORSE (Observatoire sur le Responsabilité Sociétale en Entreprise) souligne que près de 38% des utilisateurs reçoivent plus de 100 mails par jour, et que 65% déclarent vérifier leur messagerie toutes les heures, alors qu’en réalité ils le font toutes les 5  minutes ! Ce stress est bien sûr entretenu par l’arrivée des Smartphones qui permettent de consulter ses mails n’importe où et à n’importe quelle heure, jusqu’à devenir une addiction ! Cette forme de drogue, que nous appelons « mailisme », est à l’origine de nombreuses dépressions et démissions. Afin de sensibiliser les dirigeants d’entreprises, ROK Solution est parti en campagne durant l’été. Nous avons pu croiser la route de Monsieur X qui a accepté de nous parler de son expérience avec le mailisme, sous couvert d’anonymat. Moi: Bonjour Monsieur X. Merci d’avoir accepté de partager cette douloureuse expérience avec nous. Tout d’abord, pourriez-vous me donner les raisons qui ont motivé votre choix de nous parler ?   Monsieur X: Bonjour. Si j’ai décidé de vous parler aujourd’hui, c’est qu’à mon sens il est important d’ouvrir le placard sur une maladie que tout le monde connait, mais que personne n’ose aborder. La loi du silence dans le milieu de l’entreprise est difficile à briser. il faut informer les gens pour que mon expérience ne se renouvelle pas. Vous parlez de loi du silence, mais vous préférez tout de même témoigner sous anonymat. Pourquoi ce choix ? Je travaillais pour un groupe de télécommunication, et bien que je ne fasse plus partie de leurs effectifs, je reste tout de même soucieux de ma sécurité.  Bien. Pourriez-vous nous raconter comment tout cela a débuté ? En 2009, j’ai été recruté par ma société. Je travaillais au service financier. Nous travaillions dur mais l’envie était là. Le soir je rentrais chez moi embrasser ma femme et mes enfants, et même s’ils souhaitaient me voir rentrer plus tôt nous étions heureux. Comme tous les salariés, je recevais des mails en nombre tous les jours. Le mailisme s’est glissé insidieusement. Au début je gérais mes priorités, préférais répondre par téléphone aux petites questions anodines. Puis de plus en plus le nombre de mail a augmenté et répondre par téléphone est devenu trop long. Je répondais donc par mail. Mais c’est un cercle vicieux… Plus on envoie de mail, et plus en en reçoit. Si au début la gestion de ma boite de messagerie me prenait 30 minutes par jour, c’est vite monté à deux heures, puis à trois. Vous preniez donc entre deux et trois heures par jour pour répondre à vos mails. J’imagine que ce temps passé a eu un impact sur votre travail, non ? Pas au début. J’avais des responsabilités et des tâches à accomplir. J’ai donc commencé à rentrer de plus en plus tard chez moi, afin de boucler mes journées, et la fatigue a commencé à se faire sentir. Je ne voyais plus beaucoup ma famille à cause de mes horaires, et des tensions sont nées à ce moment chez moi. Avec le recul je comprends que ça ait pu être une période éprouvante pour ma femme qui s’occupait seule des enfants et qui ne me voyait plus. Travaillant dans une boutique, le mail ne lui était que très peu utile. Elle n’a donc pas compris que je lui dise « ce sont mes mails qui m’empêchent de quitter le bureau plus tôt ». Vous rentriez donc à la maison très tard et épuisé. Votre famille commençait à en souffrir. Que s’est-il passé ensuite ? Tout s’est passé très vite. Ma femme m’a offert un Smartphone pour mon anniversaire. Elle pensait que si je gérais les mails à la maison ou dans les transports, je passerais plus de temps avec eux. Mais ça ne s’est pas passé comme ça. Le stress du travail, les exigences toujours plus féroces, ont fait que je ne rentrais pas plus tôt, et qu’arriver à la maison ne signifiait que gérer mes mails par Smartphone ! Et ce parfois des nuits entières. Je vérifiais ma boite mail parfois 10 fois en une heure et à chaque fois je mettais de longues minutes à rédiger mes réponses. Même le weekend je n’étais plus vraiment avec ma famille. J’étais là mais l’esprit était ailleurs. Toujours sur le qui-vive, à attendre le son de réception d’un message. C’est à ce moment-là qu’un Mercredi j’ai reçu le mail de ma femme m’annonçant qu’elle me quittait et partait avec les enfants. Elle ne souhaitait plus avoir un fantôme en guise de mari.  C’est là que vous vous êtes rendu compte de votre addiction ? Non pas tout de suite. J’ai continué comme je pouvais et je rentrais encore plus tard ! Mon Smartphone est devenu mon meilleur ami … Je lui parlais !! « Allez répond, répond !! ». Mais c’est à ce moment là que je suis tombé en dépression. Plus rien ne comptait que mes mails et mon travail s’en ai fait ressentir. Plusieurs semaines plus tard, ma hiérarchie m’a fait comprendre que ce n’était plus possible de travailler dans ces conditions, et j’ai été renvoyé. L’entreprise dans laquelle j’étais avait par ailleurs enregistré une baisse de la productivité globale de 30%, et mon cas ne fut qu’un élément de licenciement massif ! Je n’étais pas seul atteint, l’épidémie continuait. Plus de travail, plus de mails, plus rien. Ma dépression s’est encore accentuée. J’ai commencé par surfer sur internet, utiliser les réseaux sociaux et les forums comme je le faisais avec ma boite mail. Je ne mangeais plus, ne dormais plus. J’ai fini par craquer,  j’ai fait une mailingite aigüe,

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Les réunions virtuelles, ou comment contrer un tueur de productivité

Les trois tueurs de productivité: le mail, les fichiers bureautiques, et les réunions. Dans cet excellent article, Frédéric Cavazza nous fait par de sa réflexion sur le troisième point, les réunions et met en avant les réunions virtuelles. Bien qu’inévitables, les réunions sont des ralentisseurs de productivité avérées. S’aidant des recherches de Bertrand Duperrin,  Frédéric Cavazza nous propose une infographie édifiante sur les coûts humains et financiers de ces dernières. Le bloggeur de l’Entreprise 2.0.fr termine son article en distillant des conseils pertinents sur la rentabilisation de ces réunions.Il met notamment en avant les réunions virtuelles, qui sont une excellente alternantives avec un processus décisionnel identitique aux réunions physiques. Partageant l’avis de l’auteur sur ces trois ralentisseurs de productivité, et les réunions bien sûre, l’équipe de développement de Rok a intégré dans la plateforme tous les moyens de communications de la technologie Microsoft, et notamment Lync pour les réunions à distance. Là où Frédéric Cavazza nous propose des solution historiques ou VoIP, Rok vous propose une communication interne intègre à votre organisation. Retrouvez ici l’article de Frédéric Cavazza: les bons réflexes pour perdre moins de temps en réunion

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La start-up ROK propose une plateforme qui permet aux collaborateurs d’une entreprise de se réunir et de partager leur savoir-faire

Fondée en 2007 comme spin-off du groupe Loret, OP Serv édite des solutions intégrées d’intelligence collaborative. Elle a acquis son indépendance en juillet 2009 et mis en avant l’appellation commerciale ROK Solution. A travers sa plate-forme ROK 3.0 (anciennement WysyFlow), les collaborateurs d’une entreprise peuvent se réunir et partager leurs savoir-faire pour mener à bien un projet ou optimiser leur travail quotidien. La start-up présente sa solution comme unique sur le marché par son niveau d’intégration, puisqu’elle combine les outils de BPA, BPM, GRC et BAM. Sa solution est tout particulièrement orientée vers le data monitoring et le contrôle durable de la qualité des données. L’approche organique et systémique de la plate-forme, dont les algorithmes sont brevetés, permet à l’utilisateur de naviguer dans les différents univers que compose son entreprise. Il dispose ainsi d’un outil de collaboration simple et transparent avec les personnes qui composent son univers de travail. ROK Solutions a également développé le ROK Store, un outil qui permet à chaque entreprise d’accéder à des référentiels métiers correspondant à son secteur d’activité et de les intégrer en temps réel. La conjugaison de ROK 3.0 et ROK Store constitue la pierre angulaire de son offre dédiée à l’optimisation des performances des entreprises et de leurs collaborateurs. Pour accélérer sa croissance et accroître son avantage concurrentiel en accentuant ses investissements en R&D, en renforçant ses équipes et en déployant une stratégie commerciale adaptée aux attentes de ses clients, ROK Solution vient de procéder à une nouvelle levée de fonds de 400 000 euros auprès de StarQuest Capital (son actionnaire historique) et de deux nouveaux business angels. Article paru sur: [tg_teaser bgcolor= »#ffffff » padding= »20″ image= »http://www.rok-solution.fr/wp-content/uploads/2016/01/Industrie-Techno.png » columns= »one_third » align= »center »]Industrie et Technologie [/tg_teaser][tg_teaser bgcolor= »#ffffff » padding= »20″ image= » » columns= »one_third » align= »center »] [/tg_teaser][tg_teaser bgcolor= »#ffffff » padding= »20″ image= » » title= » » columns= »one_third last » align= »center »] [/tg_teaser]

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ROK Solution & ROK Store : Révolution de l’Intelligence Collaborative

ROK Solution, éditeur d’une solution d’intelligence collaborative, structure et partage les savoir-faire de l’entreprise en annonçant la version 3 de ROK. Au-delà de cette première annonce, ROK Solution présente son ROK Store qui permettra à chaque entreprise d’accéder à des référentiels métier correspondant à son secteur d’activité et de les intégrer en temps réel. La conjugaison de ROK 3.0 et du ROK Store est donc la pierre angulaire d’une offre très opérationnelle, dédiée à l’optimisation des performances de l’entreprise et de ses collaborateurs. Un concept révolutionnaire L’intelligence collaborative vise à permettre aux collaborateurs de l’entreprise de réunir et partager leur savoir-faire pour mener à bien un projet ou optimiser leur travail quotidien. Un tel dispositif impose de combiner, structurer, organiser et partager des informations et expertises hétérogènes. La plate-forme ROK 3.0 a été créée pour répondre à ce besoin. Destinée à une population de fonctionnels, elle repositionne l’utilisateur final au centre de son approche et permet de capitaliser sur les actifs immatériels de l’entreprise afin de la rendre plus performante et plus agile.

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