Catégorie : Management

Sept Business Angels investissent dans OP SERV

L’éditeur OP SERV annonce une première levée de fonds réalisée auprès de sept Business Angels. Cette annonce est un signal fort sur le marché et vient avaliser la pertinence du positionnement d’OP SERV. Au-delà de l’apport financier lié à cette levée de fonds, les business angels joueront également un rôle actif dans la société, notamment du point de vue de la stratégie de l’entreprise, de son organisation et de son développement. D’ici peu, OP SERV présentera ses nouveaux axes de développement et ses orientations produits et marché. Présentation des nouveaux investisseurs :   Fausto GEROMEL Expert de la gestion de projets, il justifie de plus de 20 années d’expérience dans le secteur des télécommunications et des réseaux. Il a notamment occupé les postes de Directeur Technique de MEDIASERV, de Directeur Technique d’ERENIS, de Directeur Technique de THALES CGA ou encore de Directeur de l’ingénierie du réseau national chez BOUYGUES TELECOM. Fausto GEROMEL, X-Telecom, est également Président de l’atelier FTTH du forum ATENA. Olivier ROZENKRANC Fondateur de la société Business Process Partner, société d’expertise en informatique (organisation,  méthode de développement, qualité, expertise technologique), Olivier ROZENKRANC est un expert reconnu sur le marché pour ses capacité à concevoir et développer des offres logicielles à forte valeur ajoutée. Il s’est notamment distingué au sein de nombreuses structures comme Business Objects où il était Development Manager du département « Base de données ». Olivier VAYSSE Olivier VAYSSE est un acteur incontournable dans l’industrie du logiciel. Il jouit d’une grande réputation sur le marché, en raison de ses nombreuses réalisations commerciales. Olivier VAYSSE justifie de solides compétences dans la commercialisation d’offres à forte valeur ajoutée. Il a notamment occupé les postes de Directeur Commercial France et Suisse Romande chez IDS Scheer, de Directeur Général chez WebEx France, de Directeur Commercial France et Belgique de GENESYS Telecommunications ou encore de Manager des marchés Banque et Assurance chez Business Objects. Xavier  LEVEUGLE Diplômé de Sciences Po, spécialiste de la finance, du contrôle de gestion et de l’audit, il a occupé divers postes en France et à l’international dans des groupes de premier plan. Avant de rejoindre le groupe LORET en qualité de Directeur Financier, il fut Directeur Financier de la filiale mexicaine d’EDF, Directeur des comptabilités de Frantour (SNCF) ou encore Auditeur, chargé des financements groupe chez Elf. Jean-Christophe LORRAIN Il est actuellement Responsable Qualité à Air France, en charge du management par processus des activités du marché France et également de l’innovation et de la prévention des risques. Jean-Christophe LORRAIN est expert en gestion de la relation clients et justifie d’une grande connaissance des marchés du transport aérien et du tourisme. Alain PORTMANN Ingénieur de l’Ecole Navale, il justifie de très fortes compétences en matière de repositionnement professionnel et coaching managérial dans les domaines de l’industrie et des services. Il a occupé de nombreuses responsabilités dans des structures de premier plan comme Dirigeants et Partenaires SAS, Garon Bonvalot, Lapeyre IDM, Ciba Geigy ou encore MATRA. Pierre  SCHICK MBA Paris, diplômé de l’ESCP, il est expert dans les domaines de l’audit et du contrôle interne. Il a managé des activités opérationnelles dans les domaines commerciaux, de la gestion, de la qualité totale et de directions achats. Il a participé à la création de la fonction d’audit du Groupe EDF après avoir occupé précédemment le poste de directeur de l’audit interne chez Usinor et de chef de mission chez Bull. Auteur de plusieurs ouvrages sur l’audit interne aux éditions Dunod et Organisation , il enseigne depuis plus de 20 ans l’audit, l’organisation et l’aide à la décision en Master aux IAE d’Aix-en-Provence, de Bordeaux et de Paris XII Val-de-Marne ainsi que dans plusieurs institutions à l’Etranger.

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Parole d’experts : la nécessaire révolution de l’approche actuelle du BPM

Pourquoi les outils de BPM ont-ils du mal à percer alors qu’ils devraient être plébiscités pour anticiper et accompagner le changement, réduire les risques et diffuser le savoir faire ? Les outils d’optimisation des processus métiers ne sont pas mis en oeuvre en période de croissance et ne peuvent l’être en période d’austérité A l’image d’un balancier, l’entreprise oscille, au gré des conjonctures, entre innovation et rationalisation. Il est rare que l’on mette en place en période de prospérité des outils d’optimisation des organisations qui seront pourtant bien utiles en période d’austérité. Il est encore plus rare que l’on investisse dans ce type d’outils en période de crise, faute de temps, de moyens ou encore d’une mise en oeuvre rapide et simple. L’entrepreneur a sa part de responsabilité dans cette situation, mais il est juste de reconnaître que les éditeurs ne leur offrent pas de solutions évidentes et efficaces. Les outils existants sont trop complexes, réservés aux experts et n’ont pas l’adhésion des opérationnels Les outils de BPM participent chacun à leur manière à la formalisation des organisations, à leur modélisation, optimisation, motorisation, enrichissement par Retour d’expérience (REX) … En revanche, ils souffrent tous de leur trop grande spécialisation, de la difficulté qu’il y a à les mettre en oeuvre, à les maintenir et à les partager avec le plus grand nombre dans l’entreprise. Outils d’experts, alimentés par des experts et / ou des consultants spécialisés, ils ont du mal à toucher les hommes de métier, et leur approche « top down », faute de fluidité et de simplicité reste une affaire de peu de personnes … au top. Dogmatiques, ils demeurent sanctuarisés dans les services SI ou qualité, et suivent les mutations de l’entreprise plus qu’ils ne l’anticipent ou ne les accompagnent. L’heure est à des outils simples qui redonnent aux opérationnels la maîtrise de leurs organisations, des risques liés, tout en capitalisant et utilisant les savoirs-faire des collaborateurs Il est temps de réconcilier le col blanc et l’opérationnel mais aussi le SI et l’homme de métier en proposant des outils simples, transversaux, orientés métier, faciles à mettre en oeuvre, partagés par le plus grand nombre et qui redonnent aux diverses directions la maîtrise de leurs organisations. Il faut repenser l’approche actuelle. L’organisation doit pouvoir être décrite et normalisée simplement, sans qu’il soit indispensable de casser l’historique capitalisé, quand bien même il le serait sur de multiples supports hétéroclites. Elle doit être accessible (en écriture comme en lecture) à tous. Une solution en trois volets : casser les règles de gestion du SI, associer le risque à la démarche, fédérer et jouer la synergie des métiers de l’entreprise L’information doit être diffusée et partagée naturellement et sans effort, c’est-à-dire en cassant les règles de gestion ancestrales qui veulent que l’on se focalise en matière de gestion de droits sur l’individu ou le groupe d’individus. Le bon sens voudrait que cette tâche suive les règles organiques et systémiques de l’entreprise. Le risque doit être une constante accrochée à l’organisation en changement, et l’on doit à tout moment avoir les outils qui permettent de s’assurer qu’il est maîtrisé. Enfin l’outil de gestion de ces organisations ne peut être isolé pour exister et pour être alimenté. Il doit communiquer avec le SI ou les services de ressources humaines, doit supporter la gestion documentaire associée et être sollicité par les services concernés. Plus sa zone de chalandise est large, plus il est juste, efficace et réactif. Conclusion Les outils BPM ont leur avenir devant eux sous réserve qu’ils opèrent une triple révolution. D’outils d’experts, ils doivent devenir collaboratifs, contributifs, voire sociaux et leur gestion doit être redonnée aux opérationnels, de sorte que la plus value des consultants qui les alimentent devienne la partie émergée (à forte valeur ajoutée) de l’iceberg et non l’inverse comme aujourd’hui. La garantie et l’intégrité des contenus ne doivent pas être endossées par le SI, mais supportées par les analystes du risque qui doivent être partie intégrante de la solution. Conservant leur expertise embarquée, ces outils doivent capitaliser et distribuer naturellement le savoir faire de tous. Quand cette mini révolution sera opérée, alors l’optimisation des organisations assistée sera la norme quelle que soit la conjoncture. De tels outils permettront d’anticiper et d’accompagner le changement, tout en maîtrisant le risque lié et en partageant les meilleures pratiques. Leur perception se sera démocratisée, leur utilité à tous les niveaux de l’entreprise sera plébiscitée, leur Retour Sur Investissement sera une évidence. C’est une affaire de concept, de technologie et d’approche. Article paru sur: [tg_teaser bgcolor= »#ffffff » padding= »20″ image= »http://www.rok-solution.fr/wp-content/uploads/2016/01/Finyear-1.png » columns= »one_third » align= »center »]Finyear, le média finance entreprise [/tg_teaser][tg_teaser bgcolor= »#ffffff » padding= »20″ image= »http://www.rok-solution.fr/wp-content/uploads/2016/01/lusine-nouvelle.png » columns= »one_third » align= »center »]L’Usine Nouvelle [/tg_teaser][tg_teaser bgcolor= »#ffffff » padding= »20″ image= » » title= » » columns= »one_third last » align= »center »] [/tg_teaser]

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